Peter Gabriel & Kate Bush : Don’t Give up

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Je ne sais pas pour vous mais je trouve que dans un monde dans lequel on court souvent (et à toute allure encore) sans savoir pourquoi ni vers quoi il est bon de se poser.  Mais où allons-nous comme ça ? Serions nous tombés sur la tête ? Indeci

 Alors au coeur d’un stress culturellement, psychologiquement, névrotiquement ou socialement construit  dans lequel nous ne nous autorisons pas l’échec qui n’est pourtant que le versant de succès futurs et/ou différents, il est utile de ralentir, de faire une pause, de se couper du stress.

Dans un monde dans lequel le succès prend le visage de la domination, du mépris, voire l’écrasement de l’autre pourvu que l’on brille, dans un monde dans lequel la pression sociale et économique augmente les tensions intérieures il est besoin de s’octroyer des pauses, le temps de s’assurer que l’on ne s’est pas perdu en route.  Il y a diverses manières de faire des pauses de la plus spirituelle à la plus futile si tant est qu’on puisse quantifier le spirituel. Chaque personne dans le jardin secret, dans l’intime de son être a des manières personnelles de s’octroyer des pauses. L’une des miennes c’est d’écouter de la musique d’entrer en musique en sortant du stress.  La musique qui permet au temps de suspendre son vol, qui apporte un peu de douceur, d’art, voire de poésie, pause enchantée dans un temps où tout s’accélère. J’ai d’autres manières de me couper de ce stress mais ces manières pour plusieurs d’entre-elles appartiennent à la partie du jardin de mon être qui est de l’autre côté de la barrière.Clin doeil

Au coeur de cette folie du temps qui court j’ai envie de vous offrir une petite pause désaltérante que j’espère agréable. Prenez si vous le souhaitez le temps d’écouter ce duo rempli de douceur qui encourage à ne pas laisser tomber quand les moments deviennent difficiles.

Accepter les temps d’insuccès et d’échecs permet de construire les succès des lendemains. Avoir échoué ne nous définit pas comme un échec. Il y a une différence entre le fait de rater quelque chose et d’être un(e) raté(e). J’ai connu des échecs et des ratés mais ceci ne me définit pas, en revanche cela participe à me construire. Tout est question de regard et d’appréhension n’est-ce pas ?

Alors on si l’on se posait un instant, le temps d’une respiration, le temps d’un espoir, le temps d’un soupir, le temps de reprendre son souffle en nous laissant porter par les voix de Kate Bush et Peter Gabriel ?

J’espère que vous apprécierez…et je me permets un encouragement n’abanonnez pas, ne lâchez pas, vos lendemains peuvent être porteurs de belles surprises.

Et vous avez vous des manières de vous octroyer des pauses que vous voulez partager ? Si oui à vos claviers. 

Amitiés

http://www.dailymotion.com/video/6oYdqXuCST5eV74jQ
In this proud land we grew up strongwe were wanted all along

I was taught to fight
taught to win

I never thought I could fail.
No fight left or so it segms

I am a man whose dreams have all deserted

I’ve changed my face
I’ve changed my name

But no one wants you when you lose.

Don’t give up – ’cause you have friends

Don’t give up – you’re not beaten yet

Don’t give up – I know you can make it good.

Though I saw it all around

never thought that I could be affected

Thought that we’d be last to go

it is so strange the way things turn.
Drove the night toward my home

the place that I was Dorn on the lakeside

As daylight broke I saw the earth

the trees had burned down to the ground.

Don’t give up – you still have us

Don’t give up – we don’t need much of anything

Don’t give up
’cause somewhere there’s a place where we belong.
Rest your head
you worry too much

it’s going to be alright.
When times get rough you can fall back on us

Don’t give up
please
don’t give up!

Got to walk out of here
I can’t take anymore

Going to stand on that bridge
keep my eyes down below.
Whatever may come and whatever may go -
That river’s flowing
that river’s flowing.
Moved on to another town
tried hord to settle down

For every iob so many men
so many men no one needs.

Don’t give up – ’cause you have friends

Don’t give up – you’re not the only one

Don’t give up – no reason to be ashamed

Don’t give up – you still have us.
Don’t give up now – we’re proud of who you are

Don’t give up – you know it’s never been easy

Don’t give up – ’cause I believe there’s a place

There’s a place where we belong



Pour le plaisir de mes yeux et de qui voudra

J’ai pensé récemment à porter plainte contre le prince charmant parce que j’ai réalisé qu’il n’existe pas. Regardez vous même quelle synthèse il devrait être pour exister. Bon toute plaisanterie mise à part ces visages ont nourri mon imaginaire et voyez vous même pourquoi le prince charmant ne peut pas exister… Sourire

Harry Belafonte : Quand j’étais plus jeune je le trouvais beau comme un être irréel. Les vieux films en video de lui et de Sidney Poitier tournaient en boucle chez nous. L’époque où les afro américains ont commencé à avoir des rôles autres que les caricatures pitoyables au sourire idiot qui asseyaient l’infériorisation implicite de ces populations dans l’inconscient collectif américain.

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Harry Belafonte, la beauté, l’intelligence, l’engagement pour voir changer la société. Il a combattu auprès d’un de mes héros Martin Luther King. Obligée de l’aimer.

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Samuel L. Jackson : Il y a en lui une chose indéfinissable qui fait qu’il n’est pas lisse. Mais il est classe.

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Dans le manteau de Shaft laisse tomber !! Il est un excellent acteur qui peut jouer sur différents registres. Après des années d’une terrible toxicomanie il tient cette forme. Dans la famille Jackson je demande les parents l’homme a visiblement un ADN du tonnerre. Vous l’avez vu jouer le toxicomane dans Jungle Fever ?

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Denzel Washington : En général j’essaie de ne pas sombrer dans le poncif. Mais là que dire qui n’ait été dit ? Rire

Je l’aime aussi parce qu’il est un acteur incroyable. Je l’ai découvert dans Cry Freedom. Il jouait le rôle d’un héros dans le panthéon de l’Afrique et d’ailleurs : Bantu Steven Biko mort d’avoir oser rêver de vivre libre dans son pays. Dans « Mo Better Blues » ( Moooooooooooo), et dans Malcolm X (il semblait habité par le rôle tant il lui conférait de l’intensité). Je me souviens du regard hanté dans « Hurricane Carter » un monument de cinéma pour moi. Oui je l’aime aussi parce qu’il est bon acteur.Clin doeil

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Regardez comment il est bon acteur…Langue

denzelwashingtonnb.jpg picture by maddyspace James Pickens Jr. Beaucoup ont attendu Grey’s anatomy pour le repérer. Ce sourire je le trouve magnifique depuis fort longtemps mouahhhhhhhh et il vieillit bien le bougre.

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Et Seal : C’est un chanteur à la voix exceptionnelle. voyez vous mêmes comme ils chante bien. « I’m in love love divine… » vous entendez cette musique ?

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Nelson Rolihaha Mandela : Un regard et un sourire qui témoignent d’une vie lumineuse. J’aime ce sourire et le regard qui garde la capacité de s’émerveiller. J’aime le modèle de pardon et de résilience qu’il est. Je le trouve beau comme le coeur qu’il montre. Madiba, mon héros. nelsonmandelanb.gif picture by maddyspace



Dimanche 22 juillet : un jour comme les autres …et mon jour

bonanniversairebleuchic-1.gif picture by maddyspace

Il y a des années, dans une lointaine contrée, un être exceptionnel (et modeste de surcroît comme vous le constatez) préparait sa venue. Il y avait la maman, enceinte jusqu’aux yeux, et une enfant rebelle qui ne voulait sortir. Il va sans dire que l’enfant n’avait pas du tout les gènes de Kirikou. Les médecins ô surprise n’avaient pas dans l’idée de provoquer la naissance de l’enfant entêtée et la maman bien sûr s’épuisait dans l’attente. Plus de dix mois déjà que tapie dans son sein l’enfant qu’elle attendait ne voulait pas sortir et voir l’extérieur. Etait-il possible que ses oreilles aient sifflé rien qu’en entendant les informations ? Comme dans une fable qui court dans sa tribu elle s’apprêtait à battre le record légendaire de l’enfant qui resta si longtemps dans le sein de sa mère qu’au jour de sa naissance il avait toutes ses dents. Bientôt le onzième mois que l’enfant dans son antre entrée en résistance dicte sa loi. A quoi résistait-elle aux douleurs du dehors ou était- elle simplement trop fainéante pour trouver le chemin de la sortie ? 

Et ces médecins qui, contre toute attente ne bougeaient pas d’un poil pour provoquer la naissance de l’enfant. Voici qu’un jour enfin les hommes de science (y avait il dans lot des femmes de science ? Mais non voyons il est bien connu que « le bon sens » s’il s’écrit au masculin est une grâce de la féminité. Bon ce n’est connu nulle part mais une taquinerie dirigée vers ces messieurs fait sourire celle qui raconte cette histoire. Privilège de conteuse, avantage du griot souffrez que la narratrice en use et en abuse). Sourire Il faut dire qu’en ce temps la science n’avait pas fait en matière obstétrique les progrès d’aujourd’hui. Oui mais quand même !!! Langue

Même un griot aguerri cède quelquefois à la tentation de faire digression. Revenons cependant à nos hommes de science. Ces derniers décidèrent comme il vous l’est conté qu’il était enfin temps de libérer la future maman (déjà mère d’une petite fille) d’une grossesse qui mettait les sens de monsieur Guiness Book dans un émoi fébrile. Une grossesse à inscrire dans le livre des records ?  Avaient-ils enfin lu dans le regard d’un homme d’abyssales inquiétudes ? Avaient-ils discerné qu’il y avait quelque part une petite fille d’un an et puis trois mois n’a sûrement pas envie vivre sans sa maman ? 

Soudain le souvenir d’un empereur romain débloqua le bon sens qui était en sommeil. Il s’appelait César tiens ça me dit quelque chose … bon sang mais c’est bien sûr une faisons une césarienne !!!! 

Quand vint la naissance, la mère et l’enfant étaient en danger de mort. Sans pousser un cri la petite fille prit le frais du dehors. Une tape sur les fesses, aïe pourquoi tant de violence il faut que bébé crie, il y va disait-on de sa santé motrice. Alors elle poussa un cri que sa mère n’entendit pas, plongée qu’elle était dans un combat féroce contre une mort entêtée. Elle découvrira sa fille au bout d’une semaine pour voir commencer alors une belle histoire d’amour d’une mère et sa fille qui sauront qu’elles ont un lien comme celui qui unit les heureux rescapés d’une catastrophe. Elles ont failli mourir sans même se rencontrer sur la terre des vivants. Merci monsieur César !!! 

Elle a fait son entrée dans une famille qui écrira pour elle et avec elle une histoire de tendresse. D’autres enfants viendront. L’une d’elle s’absentera. Mais l’histoire est belle parce ce que c’est la sienne. C’était il y a des années, dans une lointaine contrée, c’était un 22 juillet, c’était à Yaoundé que sans pousser un cri j’ai fait mon entrée sur la terre des vivants. 

Alors je dis merci à ceux qui étaient là pour accueillir l’enfant qui naissait : 

Une mère et à un père qui bien qu’imparfaits sont sans aucun doute ceux qu’il me fallait. 

A ma sœur aînée chérie avec tendresse qui au cœur de ses défauts est parfaite pour moi. 

Et une pensée aussi aux hommes de sciences qui se sont souvenus de César… 

A la sage femme qui à ce qu’on m’a dit a eu la bonne idée de m’aider à pousser le cri qui m’a rendu service. Le bon sens serait-il féminin ? Du calme messieurs c’est une boutade et puis c’est le privilège d’un jour d’anniversaire ! 

Gratitude éternelle A Celui qui est mon Créateur et Père qui m’a tissée dans le sein de ma mère et m’a donné une vie bâtie dans l’espérance. A Celui qui est à jamais le chant que je chante, qui la mélodie de mon cœur et le sujet de mes louanges.  Sans eux  je ne serais pas là… Merci 

Née un 22 juillet, à Yaoundé. C’est le début de l’histoire qui depuis s’écrit somme toutes avec bonheur.  Ca valait la peine de se laisser extraire du sein maternel.Cool

So let’s celebrate like this :

Club Nouveau : Happy day

http://www.dailymotion.com/video/x3kf5t



Regrets…

prostration.jpg

Je reste
Avec mes souvenirs
Ces morceaux du passé
Comme un miroir en éclats de verre
Mais à quoi ca sert

Ce que je voulais te dire
Reste sur des pages blanches
Sur lesquelles je peux tirer un trait
C’était juste hier

Tu ne m’as pas laissé le temps
De te dire tout c’que je t’aime
Et tout c’que tu me manques

On devrait toujours dire avant
L’importance que les gens prennent
Tant qu’il est encore temps
Mais tu ne m’as pas laissé le temps

Toi qui m’as tout appris
Et m’as tant donné
C’est dans tes yeux que je grandissais
Et me sentais fier

Pourquoi sans prévenir
Un jour tout s’arrete
Et vous laisse encore plus seul sur terre
Sans savoir quoi faire ?

Tu ne m’as pas laissé le temps
De te dire tout c’que je t’aime
Et tout c’que tu me manques

On devrait toujours dire avant
L’importance que les gens prennent
Tant qu’il est encore temps
Tu n’m'as pas laissé le temps
Laissé le temps

Extrait d’un texte de Lionel Florence et David Halliday



Oleta Adams chante what’s going on

J’aime Oleta Adams, j’aime what’s gong on. Vous conviendrez avec que tout autre raison à ce post serait superflue.Clin doeil Bon c’est un symphonie inachevé, un bonheur interrompu. mais un bonheur interrompu ne vaut-il pas mieux que pas de bonheur du tout ? (hi hi).

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Appel à l’aide pour Claire

Je relaye ici une information trouvée sur le Blog d’Envolée qui elle même relayait un message de Christian Julia.

Une jeune femme Claire a besoin d’une chaîne de solidarité pour l’aider à vaincre la maladie. Je vous invite à aller sur le site dont vous voyez le lien ci-dessous. Merci pour elle.

http://christalys2000.spaces.live.com/

Très bonne soirée et que la chaine de solidarité trouve sur cet espace un relais.

 Bonne soirée à tous.



Avant de dire adieu

Il y a des gens qui ont l’incroyable don de mettre des mots sur l’intime de nos émotions et sur ce que nous ne savons ou ne pouvons dire. Quand j’étais plus jeune j’ai beaucoup lu les poèmes d’Alfred de Musset. Aujourd’hui quelques vers d’un de ses poèmes me sont revenus. C’est qu’il me touche ce poème. Quelquefois le cours de la vie nous fait vivre des soustractions non désirées. Des êtres aimés sont arrachés à nos affections par la mort ou par autre chose. Il y a une chose qui m’a souvent frappée dans mon pays : les éloges funèbres. Ils étaient parfois grandiloquents toujours élogieux et l’on se surprenait à dire son amour et son admiration devant la tombe de quelqu’un à qui l’on n’avait jamais dit ce qu’on ressentait et qui n’était plus là pour les entendre. On ne se dévoile pas aux vivants, mais on rend hommage aux morts quel paradoxe !  Alors qu’il en est encore temps, disons notre amour, notre amitié et notre affection à ceux qui nous entourent et qui comptent pour nous. Savoir dire à quelqu’un que sa présence donne un peu plus de couleur à ma vie, j’ai dû apprendre à le faire. Je ne voudrais plus avoir le regret de n’avoir pas assez dit ou montré ce que représentaient pour moi ceux que j’ai perdus. Ca nécessite parfois de faire un travail sur soi. Nous sommes souvent si pudiques dans nos relations. Nous avons tendance à nous dire que les autres savent que nous les aimons… forcément ! L’amour va de soi c’est une évidence. Avez-vous fait le test du « moi aussi » ? Vous dites « je t’aime » et la personne vous répond « moi aussi ». Et vous lui dites malicieusement « toi aussi quoi ? » et lui de répondre : « mais tu le sais !!! ». Pudeur quand tu nous tiens ! Nous gardons enfermés, bien cadenassés des mots de tendresse et d’affection parce que ça pourrait nous fragiliser de les laisser sortir.  Malheureusement il est rare que nous puissions connaître et prévoir le moment où nous perdrons ceux qui nous sont chers. Quand au regret de la perte vient s’ajouter celui de n’avoir pas su, de n’avoir pas pu faire ou  dire ce qu’on croyait avoir le temps de faire ou dire c’est terrible. Je parle d’expérience… « En te perdant je sens que je t’aimais ». C’est parfois un terrible constat. C’est parfois irrémédiable. Accepter de s’ouvrir de rendre manifeste ce que nous ressentons ne nous rend pas, de mon point de vue plus faibles. Aimer et le démontrer rend plus fort. C’est mon point de vue, mon retour d’expérience.

J’espère que vous apprécierez le poème de Musset.

ADIEU !

Adieu ! je crois qu’en cette vie
Je ne te reverrai jamais.
Dieu passe, il t’appelle et m’oublie ;
En te perdant je sens que je t’aimais.
Pas de pleurs, pas de plainte vaine.
Je sais respecter l’avenir.
Vienne la voile qui t’emmène,
En souriant je la verrai partir.

Tu t’en vas pleine d’espérance,
Avec orgueil tu reviendras ;
Mais ceux qui vont souffrir de ton absence,
Tu ne les reconnaîtras pas.

Adieu ! tu vas faire un beau rêve
Et t’enivrer d’un plaisir dangereux ;
Sur ton chemin l’étoile qui se lève
Longtemps encor éblouira tes yeux.

Un jour tu sentiras peut-être
Le prix d’un coeur qui nous comprend,
Le bien qu’on trouve à le connaître,
Et ce qu’on souffre en le perdant

Alfred de Musset. 



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