Refuser d’être enseveli sous les blessures et briser les chaînes des mots vecteurs de maux

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Un mot, un son anodin, quelques syllabes que l’on aligne avec légèreté, peuvent pour celui qui les entend avoir de terribles conséquences.

Quelquefois on les prononce pour blesser, rire ou faire rire, sans mesure les ondes de choc dans la vie de celui qui en est, l’involontaire cible.

Combien de fois, sous le prétexte que l’on est énervé, excédé ou agacé, en tant que parents ou adultes nous nous laissons aller à infliger à de jeunes enfants des mots qui les enferment comme des sarcophages ? Tout y passe : l’enfant est tour à tour un fardeau, une déception, un raté, un abruti, un incapable, un bon à rien et que sais-je encore ! Quelques adultes se laissent aller à offrir un autre cercueil à ces êtres en construction, leur prophétisant une incapacité à plaire, une incompétence à exprimer par leur physique la moindre grâce. Une inaptitude à être aimé.  Et l’on s’étonne du nombre d’infirmes  émotionnels tapis sous les adultes que nous sommes.

Derrière l’excès apparent de confiance ou le doute maladif se logent quelquefois tant de fêlures !

Prenons-nous seulement le temps de nous poser et questionner notre rapport à l’autre et notre rapport à nous-mêmes ? De quelle manière parlons-nous des autres ? Soulignons-nous davantage les défauts des personnes que leurs qualités quand nous en parlons ? Sommes-nous embêtés quand l’on entend dire du bien des autres comme si cela nous diminuait ? Si oui nous avons intérêt à faire un travail sur nous-mêmes au regard de l’estime de soi.

Les mots, les regards, les silences, l’absence de regards tandis que l’on se construit, peuvent orienter le cours de nos existences de manière radicale. Qu’avons-nous fait des mots vecteurs de maux qui ont ébranlé nos parcours de vie ?

Quand je fais le voyage dans l’enfant que j’étais, malgré l’amour et la protection offerte par mes parents et au cœur d’une fratrie équilibrée et aimante, j’entends des mots qui enferment et qui brident des dons, qui sèment le doute dans mes capacités à être et ou à faire. Un enfant ne vit pas que dans sa cellule familiale nucléaire.

Prenons-nous le temps de dire à nos enfants combien ils sont précieux et combien ils sont beaux, intelligents, brillants, magnifiques et dignes d’être aimés juste pour ce qu’ils sont ? Prenons-nous le temps de les armer par l’amour contre la violence et le rejet ?  L’amour de soi et l’acceptation de ce que l’on est une fondation essentielle pour se construire. Édifier la confiance en soi chez l’enfant peut lui permettre  de traverser l’adolescence sans y laisser trop de plumes.

L’escale en adolescence ramène à ma mémoire les sons de quelques bris intérieurs. Se bâtir dans le doute sous les sarcasmes de ses pairs n’est pas une sinécure.

Malgré les fantasmes qui nous structurent et les proclamations de nos orgueils blessés dans le rapport à l’autre, nous avons besoin du regard des tiers et de la relation à autrui. Ceux qui clament d’ailleurs le plus fort leur absence de besoin de l’autre sont peut-être secrètement en train de gémir de solitude.

J’ai croisé dans mon existence quelques fossoyeurs. Vous savez, ceux qui vous enferment dans des définitions ou dans des limites inhérentes à leurs prétentions égocentriques à définir le monde. Quand ces personnes appartiennent au cercle de ceux qui comptent pour vous à une saison de votre existence, ils peuvent vous meurtrir profondément.

Fort heureusement, malgré des propensions féminines à se projeter dans des passions exclusives et qui consument, l’on n’est pas obligé de reproduire à l’infini la tragédie de Marguerite Gautier.

Les rejets les plus blessants ne nous obligent pas à rester dans les tombeaux de ces afflictions. Après la douleur vient le dépassement et l’on en sort grandi, voire heureux. Il y a une vie à vivre et elle vaut la peine !

Alors je dis merci à tous ceux qui pour me blesser, me détruire ou pour m’avilir se sont servi des mots comme des obus.

Merci à ceux qui auraient pu me détruire mais qui ont participé à me construire telle que je suis. Les douleurs passagères ont produit un poids éternel de gloire et de surprenantes joies. Elles m’ont enrichie, élargie, affermie. Elles m’ont appris à faire des choix entre le désespoir et la joie, l’amertume et le pardon, l’enfermement ou le dépassement, la mort ou la vie, entre leurs mots et moi. Je me suis choisie.

Après les tempêtes, c’est avec délectation que l’on profite des océans apaisés et des nouvelles perspectives de voyage.

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Je remercie ceux qui ont pris le parti de porter atteinte à ma réputation propageant des propos infâmants, distillant ça et là le soupçon et des accusations mensongères. Merci à eux de m’avoir appris à me centrer sur l’essentiel : être en paix avec moi-même et avec Celui qui est l’Essence de mon être. Merci à eux de m’avoir fait réaliser que l’essentiel est que je sache qui je suis et où réside la vérité de mon être.

Quand les définitions de soi ne sont plus prisonnières de la parole de l’autre, on a fait un pas primordial vers la liberté.

Merci de m’avoir appris ou rappelé que l’énergie qui m’habite peut être investie à des choses plus constructives que le fait de combattre les moulins à vents de la mesquinerie humaine. Peu m’importe que la vérité soit ou non rétablie aux yeux de ceux qui les auront écoutés, je sais qui je suis et ça me va. Et qu’est-ce que j’aime celle que je suis ! Le chemin aura été long et quelquefois tortueux pour en arriver là, mais aujourd’hui cette vérité est  scellée sur un fondement inaltérable.

Merci à ceux qui m’ont pris pour un vilain petit canard qui avait la prétention de nager au milieu des cygnes majestueux qu’ils étaient.  Qui sait si sans ce rejet, ce mépris, cette disgrâce proclamée j’aurais pris la peine de regarder l’autre au-delà des apparences ? Grâce à eux j’aurais appris à chercher dans ceux que je croise la beauté véritable, la grâce cachée et les richesses intérieures. Je leur dois probablement en partie d’avoir travaillé à développer des qualités humaines que j’aurais peut être négligées par ailleurs. Ils se proposaient comme des croque-morts venus embaumer ma de confiance en moi, et voici qu’involontairement, ils sont devenus des pédagogues magnifiques, m’obligeant à creuser en moi pour me trouver, à creuser dans l’autre pour le voir  et le recevoir en dépit de ses failles. Les rires moqueurs d’antan se convertissent en une symphonie dans mes souvenirs, parce que cette musique participe de la bande originale de mon existence.

En passant je remercie des involontaires tuteurs de m’avoir épargné le désagrément de m’acoquiner avec les êtres superficiels et pour le moins fats qu’ils étaient. Ben oui ne faut-il pas manquer de profondeur pour passer à côté d’un être humain sous prétexte qu’il ne ressemble pas à ses propres projections de la beauté physique ? Et de vous à moi, plus le temps avance plus je trouve la femme que je croise dans mon miroir magnifique. A mon avis cela tient à cet éclat qui vient de ce que l’on aime le compagnon de voyage que l’on est pour soi. Je me trouve belle. Pourquoi mentir ? Heu… ne soyez pas désobligeants en disant que ma vue baisse avec l’âge. Pftttt ! Cool

Merci aux les amitiés trahies, aux amours avortées aux espoirs déçus, aux illusions relationnelles, après les blessures je me suis chaque fois relevée plus riche. Riche d’avoir vécu ces choses et déployée intérieurement pour aimer davantage et pour donner encore et toujours, mais avec discernement. On ne se trompe jamais en aimant, on vit parfois les désagréments d’une escale imprévue de l’amour dans un lieu inapproprié et qui se révèle trop longue.  Mais un jour l’amour que l’on donne arrive enfin à  la bonne destination et l’on réalise que toutes les douloureuses escales traçaient le chemin jusqu’à cette plénitude amoureuse, amicale, filiale.

Non, on ne se trompe jamais en aimant. Aimer c’est le sens et l’essence de l’être. L’on se trompe davantage et l’on ne se grandit pas en se croyant autorisé à se moquer de, et à piétiner les sentiments d’un tiers sous prétexte que l’on n’éprouve pas la même chose pour lui.

Il peut être long le chemin qui ramène de certaines expériences douloureuses jusqu’à l’essentiel, une rencontre plus profonde et une relation apaisée avec soi.  Quelles que soient les épreuves d’hier et d’aujourd’hui,  ne nous laissons pas ensevelir dans un lieu ou nos espoirs sont en escale forcée. Brisons les chaînes de l’amertume. Le voyage reprendra et nous arriverons à bon port. En tout cas, moi j’avance…Clin doeil



Ce chemin…

Je t’aime pour aujourd’huiPour demain pour toujours

Promesses des jours heureux

Serments d’éternité

 

Les musiques de nos jours

Étaient harmonieuses

Leurs notes me reviennent

Comme s’avance la nuit

 

Une larme silencieuse

Derrière des portes closes

Racontent l’agonie

Témoin de ton absence

 

La doit vie continuer

Après la tragédie

Elle vaut la peine dit-on

Mais sans toi elle est terne

 

Le soleil brille toujours

Mais il ne réchauffe pas

Le cœur pétrifié

Par la glace de la peine

 

 

Au milieu des amis

Au cœur de sa famille

On a beau se forcer

On n’est plus vraiment là

 

On voit remuer des lèvres

Mais les mots nous sont clos

On se meut dans la vie

Comme dans un état second

 

En m’amputant de toi

On m’a ravi à moi

On m’a coupé les ailes

Les bras le cœur les jambes

 

Privé de la passion

La communion d’esprit

Que j’avais rencontrées

En toi mon âme sœur

 

Ton visage et ton rire

Ta voix et ton parfum

Ta démarche singulière

Ne s’estompent pas

 

Amis amants et frères

Nous n’étions plus deux

J’étais toi tu étais moi

Nous étions l’infini

 

Folie d’un jour de fête

Un crissement de pneus

Mon amour n’est plus

Mon cœur s’en est allé

 

Dans le monde en mouvement

Je ne trouve plus mon rythme

Hormis dans le regard

Et le sourire d’un ange

 

Les musiques de la vie

Que j’entends dans son rire

Arrivent comme une promesse

Qui me garde dans la vie

 

Mais la promesse tarde

A se faire réalité

La douleur m’est amie

Le silence m’est abri

 

Prisonnier de l’absence

Des bonheurs du passé

Je devine aisément

Que tu me voudrais ailleurs

 

Je t’aime pour aujourd’hui

Pour demain pour toujours

La mémoire de l’amour

M’aidera à avancer

 

Les portes de prison

Fermées par le chagrin

Peu à peu s’ouvriront

Pour me laisser sortir

 

Laisser place à la vie

Et à l’envie d’aimer

Est un cheminement

Un appel de l’espoir

 

Grâce au rire de mon ange

Et en mémoire du tien

J’emprunterai ce chemin

Et réapprendrai l’amour

 

 

* Dédicace à toi qui sais que ces mots sont pour toi.



Bob Marley : Natty Dread

Bob Marley : Natty Dread dans Petite attention personnelle hiDédicace à ma princesse Peul , à ma soeur de là bas, si loin si près.

Je sais que bien de tes essentiels rencontrent et se racontent par cette musique.

Bien des sentiers de ton âme se rencontrent dans la voix et les mots de Bob Marley.

Je sais que tes indignations d’aujourd’hui sont un prolongement des siennes et tes rêves dans la filiation de ceux qui rêvèrent avec lui.

Je sais que tu sais.

Namnala sister.

Merci d’être toi et de l’être de cette manière.

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Bonne et heureuse année 2009 !

 Bonne et heureuse année 2009 ! dans De vous à moi 1igjzycz

Chers amiblogs, lecteurs fidèles ou occasionnels de cet espace, me voici de retour après plus d’un mois de pause. C’est un plaisir de vous retrouver même si mon aterrissage intérieur s’amorce à peine Cool. Rien ne vaut un bain au coeur de la terre natale. Il y a des odeurs, des sons, des sensations qui n’appartiennent qu’aux lieux de ses racines et qui participent à des reconnections à soi. Cameroun o mulema forever.  

Je profite de la saison pour vous souhaiter une année 2009 belle à tous égards. je vous souhaite des bonheurs magnifiques, des rêves immenses et des réveils enchantés. Que l’année 2009 demeure dans vos coeurs et dans vos mémoire une année exceptionnelle. vous souhaiter une bonne santé c’est bien le moins que je vous souhaite. Du bonheur, des réalisations, des rires, des fous rires, des larmes de bonheur, des rencontres ouvrant  à des lendemains souriants, bref je vous souhaite le meilleur.

vt1sumem dans De vous à moi

Merci pour votre fidélité et merci de participer si joliment par vos mots, vos émotions, vos intentions à faire vivre ce blog qui sommes toutes est le nôtre.

A très vite

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Malaïka

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Blog en pause pour cause de vacances

Chers amis lecteurs et visiteurs,

Je suis en vacances sur le terre de mes pères et ne reviendrai pas avant au plus tôt la deuxième semaine de janvier.

Je vous souhaite pas avance un Noël merveilleux et mémorable pour vous et les autres et une nouvelle année bénie, heureuse, réussie en tous points.

Merci pour votre fidélité et pour tout ce qu’à votre insu vous déposez comme des joyaux dans ma vie.

A bientôt

 

Malaïka
 



ceci dit entre nous…

14vpf9w.gif picture by maddyspaceChers amiblogs,

Cher visiteurs occasionnels Chers visiteurs plus réguliers,

Le blog a un peu plus de deux ans et, surprise de le voir encore actif,   je me  souviens.

Oui je me souviens des balbutiements du début, du monologue apparemment improductif, je me souviens des moments de  grand découragements d’alors.

Puis vous êtes venus, peu à peu, me donnant des raisons de continuer d’écrire, de livrer mon regard, de partager. Vous êtes venus, chacun apportant son unicité, la particularité de son regard, sa sensibilité, son humour, son intelligence, son amour des mots, sa poésie de la vie fût-elle en prose, son humanité, bref ces parts de lvous que vous acceptiez de mettre dans le pot commun de nos échanges ces parts que vous acceptiez de livrer.

Je suis toujours surprise par la qualité des liens et des échanges qui se font à visage masqué et souvent à coeur ouvert.

Les univers uniques et différents qui sont les vôtres s’agrègent pour, comme des petits ruisseaux qui se rencontrent former un océan d’humanité et j’oserais même dire de fraternité qui se déverse sur cet espace en sourires, en rires, en bienveillance et parfois même en délires.

4029.gif picture by maddyspaceDu côté de Dakar se trouvent deux jeunes femmes pétillantes qui parfois me donnent l’impression d’avoir toujours été là.

Et cette nature insolite qui comme une évidence a jeté un pont entre une âme magnifique et votre hôtesse.

Il y a ces humanistes que j’aime voir s’indigner avec passion sur les aberrations politiques et économiques du monde.

Il y’a cet autre qui, au coeur de  ses  hautes études en sciences sociales nous offre un regard sur le monde qui marie avec bonheur distance, humour et intelligence.

Et il y a mes frères et soeur du tous les points cardinaux du Cameroun qui passent souvent en silence et qui quelquefois laissent des mots qui me touchent. Il y a le Prési mon frère à mouahhhhhhhhh, il y a Léna visage que j’attends, Edouard qui me tient informé des nouvelles du pays, Mboa et sa plume incendiaire et les autres que je cite pas.

Il y a des saveurs et des tendresses qui se glissent ici le temps d’un passage  et dont la fidélité à passer ne s’est jamais démentie.

Et il y a les regards, vos regards d’artistes par lesquels les choses les plus anodines révèlent des beautés qui échapperaient à l’oeil du profane. Il y a cet Autre Regard  rencontré grâce au hasard de la communauté de nom et que ne renierait pas un chat appelé Tao. 

Il y a les photos de mon professeur de botanique préféré, l’une de mes premières et plus fidèles lectrices, grâce à qui les beautés de l’hexagone se révèlent en photo.

Il y a chacun de vous venant encore et encore lire nouvelles, poèmes, chroniques musicales ou sociales, mes coups de coeur, mes coups de sang.

J ‘ai vu passer des âmes sensibles qui depuis pour certaines ont fermé leurs blogs mais que je n’ai pas oubliées.

J’ai eu le plaisir de rencontrer des amateurs de musique, ceux qui ne savent plus en parler sans emphase. Des personnes en qui la musique résonne et défie la raison. Passion quand tu nous tiens. Il y a celle que la passion pour la musique rend  pratiquement »Calibarge » Clin doeil et qui m’a encouragée à écrire alors que jour après jour elle venait à la rencontre de l’histoire de Wellie que je n’ai pas fini de vous livrer. 

Et il y a vous, chacun de vous, unique et incomparable à quiconque qui m’êtes une belle rencontre. Merci.

J’ai croisé parmi vous des magiciens qui déclinent leur amour des mots en poèmes, en prose, en mots qui comme des traits d’épée réveillent de la torpeur.Les mots de femmes et d’hommes qui habillent ou déshabillent les maux pour continuer d’avancer. Merci.

Merci pour le respect et l’amitié qui sans cesse structure vos interventions et vos mots semés ça ou là sur le blog sont précieux.

Merci à vous qui me faites partager vos passions pour la nature, le surf, la peinture, l’art en général. A votre contact j’ai appris, et apprends encore.

Merci pour la qualité du dialogue

Merci à vous qui passez par ici, qui vous arrêtez et prenez la peine de déposer des impressions, des réflexions, des mots d’amitié, des encouragements, des appréciations. Merci à vous qui grâce à vos visites faites vivre ce blog et lui conférez une incroyable richesse.  Merci.

Comme vous avez dû le constater, je ne suis pas régulière sur les blogs ces derniers temps. Je suis très prise et ne peux que rarement passer chez vous et quand je le fais c’est souvent sans un mot. Je ne serai pas disponible avant un bon mois voire plus pour cause de surcroît de travail. Et ensuite ma présence sera encore légère pour d’autres raisons plus personnelles. Alors merci de ne pas vous formaliser de mon absence sur vos espaces et du manque de régularité dans la tenue du blog.  Dès que possible je reviendrai.

J’ai pensé mettre le blog en pause mais la richesse des échanges, ce que nous avons construit au fil du temps fait que vos mots, de vos petits salut en passant, les réactions passionnées et tout ce qui fait vivre ce blog, j’ai pris le pli de les recevoir et j’en suis fort aise. 55893.gif picture by maddyspace

Même si je n’ai pas la possibilité d’entretenir un dialogue de personne à personne j’apprécie les échanges que nous avons ici. J’apprécie que chacun de vous donne son point de vue avec respect de l’autre. J’apprécie les traits d’humour et les moments durant lesquels passent entre les mots nos gemellités en humanité.

Alors n’hésitez pas à semer ça et là vos mots que je lirai aussi souvent que possible. Je reviendrai sûrement vous raconter les deux prochains concerts où je vais si j’ai quelques minutes entre la rédaction d’un document essentiel à ma vie professionnelle.

Le point commun entre les deux concerts c’est la bass. Vous avez un indice plus bas. en attendant de vous retrouver, je vous laisse quelques moments de musique que ous apprécierez j’espère.

Rachelle Ferrel, Tamia, Peabo Bryson, Ronald Isley : « if only I knew » Ils ont fait pleurer Patti labelle.

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Jaylou Ava : Africa in my heart. Ecoutez laguitare de ce virtuose. C’est magnifique.

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 Je vous laisse profiter de ce moment d’anthologie avec trois bassistes incroyables. Ils sont à Paris dans 10 jours. Caramba viiiiiiiiiiiiite !

Marcus Miller , Stanley Clarke et Victor Wooten

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Club nouveau : Lean on me

Dédicace à Lénaelle. Dédicace à Tchitchi.

Dédicace à chacun(e) de vous surtout si des vents contraires ou mélancoliques venaient à souffler sur vos vies.

Pensées amicales

Malaïka

friends_poetry.gif picture by maddyspace

Sometimes in our lives we all have pain

We all have sorrow

But if we are wise

We know that there’s always tomorrow

(Chorus)

Lean on me, when you’re not strong

And I’ll be your friend

I’ll help you carry on

For it won’t be long

‘Til I’m gonna need

Somebody to lean on

Please swallow your pride

If I have things you need to borrow

For no one can fill those of your needs

That you don’t let show

(Chorus)

If there is a load you have to bear

That you can’t carry

I’m right up the road

I’ll share your load

If you just call me

So just call on me brother, when you need a hand

We all need somebody to lean on

I just might have a problem that you’d understand

We all need somebody to lean on

(Chorus)

Lean on me…

 

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Ben Harper : Jah work (dédicace à Natty)

Mais que m’arrive t-il ? Je me découvre des élans de générosité ce soir. N’est-ce pas Natty ? C’est juste un prêt. Si tu regardes bien tu verras le fil invisible et le sens interdit.

Je sais que tu apprécieras même si c’est une reprise parce que dans le même moment s’unissent deux univers qui t’inspirent. Et grâce à Ben, quelque chose de Bob passe non ?

Bisous

http://www.dailymotion.com/video/k71WJMiAgDtRSl3rjL

 



Eric Benet :you’re the only one (dédicace à Tchitchi, mais juste pour les yeux)

J’ai dit juste pour les yeux sinon il me viendrait une IDEE. Donc pour ne pas me me retrouver poursuivie par les détestations d’une IDEE fixe je te suggère t’approprier les paroles du chants et de les IDEALISER. Clin doeil Pour ceux et celles qui n’auraient à raison pas accès à ce private joke, profitez de la musique et de la voix de monsieur Benet. Je réitère ma question (mais que fait la police ?) .

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Beau peut être, mais pas seulement. Voici la même chanson en version accapella accompagné de sa fille (laisse tomber Tchtchi vois l’âge de sa filleRire il glisse par moments quelques nuances vocales qui dévoilent un potentiel vocal intéressant.
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Je vous dis merci

bbb.gif picture by maddyspace Je suis rentrée du Cameroun cette semaine.

Merci de tout coeur pour vos témoignages d’attention et de sympathie depuis un mois.

Merci pour les mots parsemés ça et là pour accompagner des moments plus que douloureux.

Il est des moments où ce qui est supposé virtuel s’habille d’une réalité ô combien précieuse.

Merci à vous d’avoir été là. Merci à vous qui êtes passé(e)s régulièrement me rappeler votre sympathie.

Il est des circonstances qui déshabillent les mots et appellent au silence. Cette circonstance pour moi en est une.

Je tenais cependant à passer pour remercier chacun de vous pour la délicatesse de vos mots et pour ce qu’en pointillé j’ai entendu.

Recevez ma gratitude et mon amitié.

Bien à vous

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